Celui là c'est de la vermine. Il se gave, c'est un goinfre. Le politicard, le parasite de la Cité. Propos populiste? Je crois la réalité dépasse la fiction.
L'idéal , pour cette espèce c'est de se gaver sur la bête avec l'assentiement de celle-ci.
Attention ! Truc de dingue :
"Les mollusques et les larves d'insectes aquatiques participeraient aux émissions de gaz à effet de serre. D'après l'institue MAx Planck, les flatulences de ces invertébrés émettent du protoxyde d'azote, gaz 310 fois plus néfaste que le CO2. Ces pets seraient particulièrement nombreux dans des milieux pollués par des eaux usées ou par des nitrates d'origine agricole."
Revue Salamandre - juin / juillet 2009 - n°192
Ca donne la chair de poule ce truc!!!
J'ai parcouru il y a peu les bords de Loire : Orléans / Jargeau rive sud, Jargeau / Orléans rive nord. J'ai ramené quelques photos que je livre en vrac. Vous aures noté que les photos sont en noir et blanc. C'est intentionnel, dans l'optique "photo artistique"telle que définie il y a quelques temps dans le power du poch'.
Cette ballade m'a donné envie de remonter jusqu'à la source à partir d'Orléans. C'est en projet. Quand il se réalisera ? Dans l'avenir ...
Toujours un grand plaisir de sortir du "flux". Lire la suite ...
J'observe une publicité indiquant que le véritable luxe c'est d'être là, à savoir dans la cité médiévale de Carcassonne qu'on me montre baignée de la chaude lumière mordorée (oh oui) d'un couché de soleil. M'étant moi-même rendu plusieurs fois dans cette ville à des fins touristiques entr'autres, je me faisais la remarque que cette affiche omettait l'essentiel, que ce paradis était un enfer, un dysneyland moyennâgeux et cauchemardesque [1]. Je me dis alors que toute publicité communique ainsi, sur le mode de l'omission mensongère, du regard biaisé et partial, du mensonge. Lire la suite ...
Je reviens d'un défilé du 1er mai... Un spectateur immergé incognito dans la foule. J'aurais dû me coller un auto-collant syndical pour me fondre davantage dans la masse. Ils commémoraient, je me balladais. Belle matinée de 1er mai, symbole de la division de la journée en travail, sommeil, loisir. M'évoque une réflexion sur le temps et l'interprétation qu'en fait notre organisme. Encore un petit effort et je ponds un hiaku. J'aimerais avoir quelques convictions politiques pour me donner un peu de relief en société.
...
Relecture fugitive de quelques aphorismes du Gai Savoir de F.Nietzsche.
Celui-ci m'a semblé pouvoir s'appliquer encore de nos jours : extrait
§56
Le désir de souffrance. _ Si je pense au désir de faire quelque chose qui démange et aiguillonne continuellement les millions de jeunes Européens qui ne peuvent plus supporter tout cet ennui ni se supporter eux-mêmes, _ je me rends compte qu'il doit y avoir en eux un désir d'endurer quelque souffrance afin de tirer de leur souffrance une raison plausible d'agir, d'accomplir un exploit. La détresse est nécessaire! D'où le tapage des hommes politiques, d'où le grand nombre de "situations de détresse" fausses, inventées, exagérées dans toutes les classes possibles et l'aveugle complaisance disposée à y croire. ...
J'ai relevé tout particulièrement ce désir de souffrance, ce besoin de détresse auquel répondent les politiques en bons psychologues qu'ils sont... Ne serait-ce pas leur volonté de pouvoir qui les pousseraient à agir malgré eux en bons psychologues? Comprendre ce dont l'autre à besoin c'est déjà prendre un ascendant décisif sur lui. Celui dont le but est de diriger l'autre, déchiffre les âmes. Lire la suite ...
En lisant ce qui s'écrivait sur J.G Ballard suite à son décés, suis tombé sur ce site : http://www.cafardcosmique.com/, incursion dans le monde de la SF que je m'éconnais quoique j'y sois sensibilisé. Colle le lien sur le poch' comme on ferait un noeud à son mouchoir pour se souvenir.
Extrait :
"Car avant d’être le genre popularisé par le cinéma, les séries télévisées, leurs produits dérivés et l’imagerie kitsch qui lui colle à la peau comme une toxine de surface, la S-F est une contre-culture. Avant d’être poudre aux yeux, réservoir pour dérives sectaires, voire plus simplement miroirs aux alouettes, la S-F est une littérature qui réfléchit à son présent en le mettant en images."
Là c'est trop !! Je m'insurge. C'est de la dégueulasserie intégrale, ce truc là. Les pauvres nazes ! (bon, y'a des trucs qui méritent mille fois plus la révolte mais pour une révolte intérieur comme la mienne autant que ce soit pour un truc futile).
Ceci dit, cette petite anecdote (pipe de Monsieur Hulot travestie sur l'affiche) est révélatrice d'une mentalité étroite de boutiquier mesquin (les boutiquiers apprécierons... j'ajoute qu'il n'est pas utile d'être boutiquier pour être boutiquier).
De toute façon, tant qu'ils ne vont pas jusqu'à retoucher les films...
Rares doivent être ceux parmi nous (au sens large allons jusqu'au bord des frontières de notre monde occidentale) que ce film doit laisser insensibles. Celui que n’émeut pas ce film n’a pas ressenti la nostalgie de cette Nature (paradoxale car il ne l’a pas connue, mode de vie moderne oblige) qui pousse le « héros » vers les vastes espaces, vers toujours plus de dépouillement, du dépouillement des illusions et des mensonges dont il (on ?) s’est paré. L’indifférent a atteint un stade de l’évolution où la rupture avec la Nature (-faudrait préciser ce qu’est cette Nature-) est complète. Cette quête de l’être, ce retour au primordial, il n’en comprend pas les motivations. C’est pour lui au mieux une révolte de jeune adulte mal « gérée ». Pas de trace en lui de cette la lutte entre l’individu et sa Société, entre aspiration à être en soi et conformation sociale. Ce film ne lui dit rien…mais pour les autres… Lire la suite ...
Joli film (ça veut tout dire et rien dire) que vous trouverez vous savez où hein les poch'...
Quelques mots dessus : une floppée de personnages dans un bidon-ville japonais. Des tranches de vie, des anecdotes, des caractères inquiétants, attendrissants, loufoques, tristes ou joyeux ou les deux à la fois... Des tourbillons de vie au rythme du tramway... Suis sorti de ce film comme on sort d'un bar vers les 02 ou 03h du mat'...
Tout un programme ...
Bon alors petit exercice de logique :
on existe plonger dans un "environnement", terme que j'utilise pour désigner l'espace, le temps, l'espace-temps ou plus généralement et de façon plus abstraite ce qui permet à ce qui est plongé en lui d'exister.
Si Dieu existe il fait parti de cet environnement et en tant que partie il ne peut être Dieu (car Dieu n'a pas de parties...où une infinité et là j'ai le pressentiment que c'est un peu la même chose). Seule possibilité pour Dieu d'exister : être cet environnement qui pour être doit lui-même être plongé dans un environnement englobant etc ...
Moralité : Dieu est un processus itératif qui n'arrive jamais à terme. Il tend à exister sans jamais y parvenir. C'est une affaire de croyance ou tout pseudo-raisonnement logique n'a pas lieu d'être. On trouvera tout une floppée de démonstrations de l'existence de Dieu. Faites vos courses où vous le sentez. Avec un pouvoir d'achat accru comme le nôtre on devrait pouvoir trouver ce qui nous va. Lire la suite ...
Plutôt du genre à vouloir nous faire passer des saloperies pour des trucs biens :
* journée de commémoration des victimes du communisme
La réponse armée apparaît disproportionnée. Les quelques roquettes que balancent le Hamas sur le "territoire" Israélien (les guillemets à "territoire" sont volontaires) semblent dérisoires en comparaison du déluge de feu qui s'abat sur Gaza.
Le Hamas ne s'interdit rien et surtout pas le terrorisme. Comment le pourrait-il? Il n'a pas d'autres options. En tant que partisans dotés d'une capacité militaire inférieure en comparaison de celle de son adversaire, ne leur restent que les options proscrites (soi-disant) : terrorisme et politique du jusqu'au-boutisme (piège abscons suivi jusqu'à l'anéantissement)…sauf à accepter l’occupation… Lire la suite ...