Nous sommes entrés dans une période de décadence affirmée et la vie de notre imagination n'a plus d'autres ressources que de se tourner vers le passé.La vie trépidante d'aujourd'hui a évolué beaucoup trop rapidement et n'a pas su garder suffisamment de lien avec la vie la plus simple qui a fait de notre race ce qu'elle est, pour avoir ou conserver quelque potentialité esthétique véritable...

La Nature c'est aussi nous.

les statistiques sont à la science ce que le réverbère est à l'alcoolique

Un comptoir c'est fait pour débiter des conneries... et optionnellement boire un coup.

La fuite est le nom que les gens ensablés dans les fondrières de l'habitude donnent à l'élan vital.

"Love is a fog that burns with the first daylight of reality", (L'amour est comme une brume qui brûle à la première lueur de réalité)

« Un financier, ça n’a jamais de remords. Même pas de regrets. Tout simplement la pétoche. »

Dans toute grande séparation il y a un grain de folie; il faut se garder de l'entretenir et de le faire croître par la réflexion.

Je n'avais jamais eu l'esprit contestataire, si ce n'est de manière abstraite.

Sérendipité : Le problème n'est pas tant ce que l'on cherche ou ce que l'on trouve mais la façon ou les chemins qui nous mènent à cette découverte.

"Plus joyeusement on fait face aux difficultés, plus vite on les surmonte" - Sri aurobindo

[...] le seul véritable fataliste est celui en route vers l'égout. Il n'y a aucune consolation dans le fatalisme. Celui qui y croit est dépouillé même du plaisir de crier : "Allez vous faire foutre, j'abandonne", parce qu'il sait qu'il est né velléitaire (*) et que ce n'était qu'une question de temps avant qu'il ne jette l'éponge, ne surprenant personne, pas même lui. (*) qui a du mal à prendre une décision

Le grain de vie puis le grain de pensée suucéderont au grain de matiére

"poch's not dead" edhel

"l'adulte ne croit pas au père noel. Il vote." Desproges

Le jour où la merde vaudra de l'or, le cul des prolétaires ne leur appartiendra plus.

On ne cesse de nous le redire : nous vivons dans un monde sans Dieux, dans un monde désenchanté. Mais n'est-ce point d'abord la force de cette conviction qui désenchante le monde? N'est-ce point notre absence au monde qui nous tient à distance de l'enchantement? La brillante absence des Dieux n'est-elle point l'évidence de notre propre désertion? Entre les Dieux et les Titans, le moderne ne choisit plus car il est par destination l'exclusive proie des Titans. Le monde moderne n'est rien d'autre que l'omniprésence du pouvoir titanique. Les Titans règnent sans partage et les dieux sont loin dans l'immédiate beauté du monde.

certains ont des allèles dominants, et d'autres l'haleine répulsive.

et le dieu des ivrognes, guide mes pas !

Tendre vers l'artifice, n'est-ce pas chez l'homme l'ambition la plus pure, la moins mensongère ?

Dans le monde actuel nous investissons cinq fois plus d'argent, en médicaments pour la virilité masculine et le silicone pour les seins des femmes, que pour la guérison de la maladie d'Alzheimer. Dans quelques années, nous aurons des femmes avec des gros seins, des vieux à la verge dure, mais aucun d'entre eux se rappellera à quoi ça sert.

"Il faut être déchiré par quelque chose qui nous dépasse pour penser"

To kill or to let live? I would like to see this disturbing question confined to the stones on the go board.

La plupart entendent par "liberté" de nouvelles formes d'esclavage.

L'inconfort spirituel est-il compensé par le confort matériel dans lequel nous sommes plongés ?