je profite d'une plage de verglas qui m'empeche de rejoindre mon lieu de travail (ho malheur, je ne vais pas pouvoir rejoindre mon lieu de stockage diurne aujourd'hui) pour completer le psychédhelique 1.0

par ou commencer, toujours le meme dilemne ! et toujours la meme solution, balancer les notes en vrac (je ne dois pas avoir assez de surmoi pour rendre faire le moindre effort de structuration) vrac ayant pour origine la chronologie de visionnage/lecture des sources....

la psychanalyse est avant tout une écoute du patient (patient parce que malade, malade parce qu'humain). Mais pour écouter, il faut qu'il y ait des choses à dire: la parole apparait avec notre compréhension du monde. c'est le révélateur de l'appréhension du monde. l'utiliser et l'analyser permettrait de rendre conscient notre facon de voir les choses et de voir comment nous somme organiser intimement.

"ne cede pas sur ton désir" serait une des maximes de la psychanalyse.
d'apres, lacan, ce serait:
1- ton désir est respectable du fait de son existance (dans la série tout est jusitiable..)
2 - vas au bout de ton désir. (d'apres eux, ce qui fait limite du désir (le moment ou le plaisir bascule dans la douleur) est lié a l'organisation du désir : c'est la structure du fantasme). tout ca ne nous apprend pas grand chose et  ca boucle un peu. ceci est lié a la physiologie. notre limite serait physiologique.
la science prouve que le centre de la douleur est tres proche du centre du plaisir.

ce qui est interessant d'ailleurs, c'est que la psychanalyse n'est pas une science. mais d'autres sciences ont l'air de prouver certains éléments découverts par la psychanalyse.

un psychanaliste est un théoricien capable de réinventer la théorie pour chaque patient.
(contraire au dogmatique) capable d'entendre ce qui vient le déranger. (c'est 1 des idées de la phénoménologie: ne pas juger)

freud met en pratique le 1er octobre 1907 (et ouais) la premiere analyse en appliquant la méthode d'association libre     

un concept freudien interessant est né apres la 1ere guerre mondiale (vaste boucherie).

la pulsion de vie et la pulsion de mort. l'homme oscillerait entre ces 2 poles. (l'ascétisme serait une pulsion de mort sous couvert de pulsion de meilleur futur ou apres-vie, on peut y ranger les stoïciens, le brahmanisme et peut être apres tout, tous les ismes du monde). cest un peu vieux quand meme comme info et ca ne vaut pas un bon laborit. mais la partie la plus dure reste à faire: le lien avec les neurosciences... bordel, il y a du boulot, je suis pas couché si je dois citer les molécules (en meme temps, ca tombe bien, il est 13h) !!

le combat de l'humanité serait de lutter contre cette pulsion de mort et elle y arriverait par le biais de la culture. aimer le prochain comme soit meme, quete idéalle à l'encontre de la nature humaine.

je reviens rapidement sur les choses dont on a déja discuter: ici (sur la tyrannie du beau)

le ca est inconscient. (seul moyen de l'atteindre c'est d'analyser, erreurs, reves, etc).
le moi est conscient et inconscient.
le surmoi est conscient et inconscient.

qq fois en treve, mais le surmoi attaque toujours et est essentiellement négatif.

paradoxe toujours, le surmoi essentiellement négatif puisque contraint le moi, mais pourtant il nous apporte la lutte contre les pulsions de mort.

freud pense que la psy peut être remplacée par la pharmacologie. (une petite verveine pour calmer les pulsions ou un petit tranxene ?). bientot par le neurochirurgie (une décharge bien placée et hop pour la schizophrénie).

voila pour le moment.