« Si la démocratie est d’élever le prolétaire au niveau de la bêtise du bourgeois, à bas la démocratie »
— Gustave Flaubert dans ses correspondances
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Beauté et tyrannie

Portrait de fabou



Ai beau l'individu dont l'apparence tyrannise.
— fabou
Avis de poch
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Commentaires

Portrait de edhel

escalvage de la beauté

c'est marrant ,mais j'aurais mis "est beau" ;o)

 

Portrait de fabou

Faute d'orthographe révélatrice

Tout a fait orthographiquement exact. Après coup, j'aurais peut-être inconsciemment considérer la beauté comme une qualité qu'on possède ( jamais tout à fait )... Va savoir. C'est un peu un lapsus révélateur version écriture.
Portrait de fabou

Définition de la beauté ( d'un individu )

A la lecture du commentaire de pochinelle sur le commentaire d'edhel au billet inepte de souille sur les femmes ( souille si tu me lis ;-) je me suis posé la question de ce qu'était la beauté. Rapidement, je me suis dis que c'était une qualité des plus relative puis j'ai essayé de trouver une définition qui aille au-delà du caractére relatif de la beauté ... et j'ai pensé à ça, dont je vous fais profiter humblement :

Est beau l'individu dont l'apparence tyrannise.

( Sans faute d'orthographe cette fois ) 

Me suis ensuite questionné sur le sens exact de "tyranniser" ( car j'aurais pu employer n'importe quel synonyme ) mais après avoir consulté une définition :

Exercer une contrainte oppressive sur l'esprit, les sentiments, la volonté (de quelqu'un).

je me suis dis que ça collait a posteriori particulièrement bien avec ce que je n'avais pas imaginé dire ( écrire ) car l'oppression - une oppression teintée d'admiration - est bien le sentiment que je ressens face à quelqu'un de beau ( qui ne l'ai peut-être pas suivant les standards publicitaires d'aujourdh'ui ).

Certaines personnes sont si belles qu'on ne peut en supporter la vue. L'oppression est bien trop forte. Quand bien même nous soutiendrions leur vue, nous ne verrions que leur forme lumineuse qui masque la personne.

Portrait de edhel

inconscient de la faute de frappe

( qui ne l'ai peut-être pas suivant les standards publicitaires d'aujourdh'ui ).

c'est marrant mais j'aurais mis  qui ne l'est peut-être pas ;o)

viens de me rendre compte de la faute : escalvage: une escale vache pour l'orthographe: voila ce qu'est ce billet.

(et escale vache de la beauté aurait été un meilleur titre en fait).

http://pochpower.org/reincarnation : CQFD

de la une question; si le lapsus est révélateur de l'inconscient pour Freud: qu'en ai -t- il de la faute de frappe ? ;o)

 

 

Portrait de fabou

lapsus au sens large

Je pense que le lapsus peut recouvrir :

  • la parole ( lapsus linguae )
  • le geste
  • l'écrit ( lapsus calami )
  • la mémoire ( lapsus memoria )

Le geste n'entre pas dans le champ du lapsus. Tant pis, je l'ajoute puisque lui aussi peut être un moyen d'expression ( bien moins concis que la parole ou l'écrit mais peut être plus authentique ).

Après j'ignore si le lapsus calami est révélateur de l'inconscient ( pour Freud ) comme le lapsus linguae. Sans doute. La faute de frappe est-elle un authentique lapsus ? Peut-être si on peut tirer du mot mutilé un autre mot du moins phonétiquement. escale vache pour esclavage ...  

Pour ce qui est de l'usage quasi systématique de l'auxiliaire avoir au lieu d'être, je penche finalement pour une sorte de dyslexie. Mon cas est sans doute irrécupérable. ah la vache ... Il faut savoir vivre avec ses tares à défaut de son temps ( je la colle en citation celle-là ).

le cas est grave ...

... , fabou, mais pas désespéré ! ;-)

L'utilisation des auxiliaires avoir ou être est purement conventionnelle je trouve; d'ailleurs d'une langue à l'autre, on change d'auxiliaire pour décrire la même idée; exemple archi trivial :

j'ai 8 ans - i am eight years old.

Donc on peut dire que c'est une manière inconsciente de te libérer des conventions les plus puissamment ancrées; preuve d'un esprit libre voire libertaire (du domaine linguistique, pas forcément des domaines politique ou moral ou social) ;-) => psy-edhel, tu valides ?!

Plus prosaïquement, c'est peut-être une simple confusion due à l'homophonie ai-est; le cerveau raccourcit, simplifie, il lui suffit d'entendre le même son et en première intention, il fait le rapprochement. Il faut une analyse complémentaire pour faire la distinction - analyse que tu as zappée, concentré que tu devais être sur une autre partie de ton billet : l'idée à faire passer.

C'est pour cela aussi que la langue française, riche en homophones, se prête à des tas de jeux de mots, dont les poch se régalent souvent.

En tous cas, la réflexion que cela engendre : est-on beau ou a t-on de la beauté, peut être intéressante...

 

Portrait de zaza

mais oui...

La beauté  du coeur n'a nul besoin d'artifices pour durer éternellement...

oui, et pourtant

certes pochinelle.

Il est amusant de remarquer que tous les adjectifs ne se valent pas; par exemple :

si je dis un grand homme ou un homme grand, vous comprenez de suite la nuance liée à la place de l'adjectif : grand par ses actes ou grand par la taille.

ce distingo n'existe pas avec l'adjectif beau :

un bel homme ou un homme beau; à part pour des considérations purement littéraires, il n'y a pas de raison d'employer l'un plutôt que l'autre;
alors qu'on pourrait imaginer qu'une belle femme serait une femme belle par le coeur et une femme belle une femme de grande brauté physique.

Amusant de constater qu'on n'a jamais pris la peine d'exprimer une telle nuance, à croire que la beauté physique se suffit à elle même et n'a besoin de rien d'autre, quoi qu'en écrivent certains ...

(j'dis ça juste histoire de causer, en fait ! ;-) )

 

et l'indifférence par rapport à la beauté

je me disais : dans les contes pour enfants et pour grands (romans à l'eau de rose), les poèmes, les chansons de tous temps et de toutes cultures il est souvent question de (et c'est rarement autrement ; dans le magnifique exemple de cyrano, cette gourde de roxane croit être amoureuse de son christian et elle ne comprend bien évidemment trop tard que c'est de cyrano au grand nez dont elle est éprise) :

"elle est si belle (et lui si beau) qu'il tomba éperdument durablement et irrémédiablement amoureux au premier regard."

La beauté peut - elle vraiment engendrer / susciter l'amour (et pas la tyrannie donc, à moins que amour et tyrannie ne soient synonymes mais c'est un autre sujet) ?

je ne crois pas en ce qui me concerne (bien que je ne me vois pas non plus tomber amoureuse de quelqu'un que je trouve disgracieux)

donc toutes ces histoires, ce serait du chiqué ?!
;-)

Portrait de fabou

Et si c'était vrai ...

Ne serait-ce pas la transcription grossière d'une vérité trop vulgaire, trop rabaissante pour qu'on puisse l'admettre; à savoir que nous tombons amoureux d'une personne par son apparence, apparence que nous dotons de toute sorte de qualités morales et psychiques dont certaines s'avéreront de purs fantasmes ?

C'est l'instinct qui parle et qu'on souhaite transcander en le niant. Mais l'expérience ne me donne-t-elle pas raison ? Car nous ne connaissons pas la personne avec laquelle on tombe amoureux - la connaitrons-nous jamais ? - 

Ce qui est vulgaire, c'est d'en rester là ou pire de persister dans ce mensonge qu'on se fait ... et là on approche de la tyrannie. La beauté est une potentialité de tyrannie car on donnera le bon Dieu sans confession ( i.e on se mentira sans retenue ) à qui est beau si l'on y est sensible ). Et l'emprise du mensonge est tyrannie.

Ce que décrivent les romans à l'eau de rose, c'est une effroyable tyrannie. C'est pour ça que j'en lis pas, ça me fout les boules. 

Bonne soirée. 

Portrait de edhel

pulsion

apres, discussion. c'est le cas du coup de foudre. une pulsion (normalement partagée: de préférence).

le coup de foudre est la pulsion . déterminée par le Ca.

wikipedia:

"Conceptuellement, le Ça représente la partie pulsionnelle de la psyché humaine, il ne connaît ni normes (interdits ou exigences), ni réalité (temps ou espace) et n'est régi que par le seul principe de plaisir, satisfaction immédiate et inconditionnelle de besoins biologiques. C'est donc le centre des pulsions, des envies qui constituent l'énergie psychique de l'individu. Le Ça est une instance entièrement inconsciente. [..].

Il se heurte le plus souvent, et le plus violemment, au Surmoi qui est le centre des normes imposées (par l'extérieur, la société, la déontologie...), des interdits. Le Surmoi interdit la satisfaction des pulsions du Ça et les refoule.

Cette lutte intérieure génère des conflits qui s'extériorisent par le Moi, le résultat devenu conscient et en contact avec l'extérieur.

Le Ça est donc la résultante :

  • d'une part d'un capital inné et héréditaire, somme des caractères de l'espèce (sexualité, agressivité) ;
  • d'autre part de l'acquis de l'individu, résultat de son expérience et du refoulement des pulsions qui n'ont pu s'exprimer (et qui réapparaissent sous une autre forme).

"

tyrannie du ca. ou tyrannie du sur-moi : quoiqu'il en soit, pour reprendre si il y a tyran, il y a  "idée inadéquate" , c'est à dire mauvais rapport.

et en relisant ca (justement): ne trouve-t-on pas une partie de la définition de l'amour. (ne connait ni interdit, ou exigence, ni temps, ou espace) ?

l'amour est il entierement dans le ca ? un amour issu du surmoi; c'est le mariage arrangé. c'est le mariage imposé. (et apparement, c'est pas toujours mauvais et ca l'est toujours un peu).

mais c'est pareil, une pulsion n'a qu'un temps (ca je sais pas en fait, si une pulsion est ponctuelle, répétée, ou si c'est toujours la/les meme(s) qui reviennent ou aussi changeante que le pourcentage d'eau dans notre corps).  mais pour moi, j'ai l'impression que c'est par définition ponctuel.

on peut trouver les conditions de la beauté dans une action en train de se faire, (les spécialistes diront que le point de vue c'est une action). et pas forcément dans une forme.(je reprécise un peu ce que tu appelle apparence).

mais en gros ca dépend du point de vue (des petites inclations).une action faite peut succiter le sentiment d'être face à la beauté. (et de meme pour un point de vue).et de là engendrer un sentiment amoureux.

l'amour (sous entendu sur le long terme) est il entièrement dans le ca ? bien sur que non.

c'est l'intégration du ca et du surmoi, le moi d'un mariage arrangé.

comment dire: le moi d'une personne serait le ca d'un couple, (un truc totalement inconscient pour soi) le sumoi du couple étant somme des surmois individuels.

et la tyrannie est quand le surmoi contraint trop ces petites inclinations (de leibniz), ces petites idées aquéquates (de spinoza).

et on peut lui donner le bon dieu sans confession, on arretera de lui donner quand on ne sera plus sensible a cette beauté. (et cette beauté ou ce bon dieu, ira crever avec les autres dieux dans la lumière de notre conscience pour les plus doués d'entre nous ou dans les bas fonds de l'inconscient pour les plus sensibles)

le beau étant lié aussi a la culture (cad au surmoi)...

suis pas sur de bien me faire comprendre sur le coup, je sais meme plus trop de quoi on parle  :)

vais plutot me pencher sur un autre billet vert (pas besoin, je pense de préciser ce qu'est un billet vert ;o)

 

quant à lire des romans a l'eau de rose, je me souviens avoir lu que celles/ceux qui lisent de romans à l'eau de rose avait une activité sexuelle plus intense (cause / conséquence ?)

 

et ouais.

Portrait de fabou

La Beauté du Chaos

Avant d'ajouter quoique ce soit, je crois que quand tu écris :

"Le ça est donc la résultante ..." je crois qu'il faut lire "Le moi..." si j'ai bien compris les notions de "ça", "surmoi" et "moi" que tu nous exposes :

Du conflit entre Pulsion et Norme née le Moi, représentation consciente de la personne ( par elle-même )... Ouai... Y'a-t-il un psy dans l'avion ?

En reprenant ton commentaire, plus ou moins dans l'ordre, et pour être sûr de t'avoir bien lu :

Amour est plus fille de "ça" que de "surmoi". Amour relève plus de la pulsion que de l'interdit.

Si on définit des Amours suivant l'instance psychique d'ascendance ( ça, surmoi et moi sont des instances psychiques ), on a :

 

  • l'Amour "ça" : la pulsion sexuelle, le vif désir charnelle

  • l'Amour "surmoi" : le mariage arrangé ( à des fins de perpétuation d'un système hiérarchique social comme le système des castes en Inde ou au Japon ), le mariage social ( il faut bien se marier, c'est dans l'ordre des choses ... )

  • l'Amour "moi" fruit de l'incessante lutte entre "ça" et "surmoi", entre pulsion et interdit.


Sur la notion de "ça" étendue au couple ... j'ai pas bien tout compris. Ca avait l'air d'être une idée clé. Dommage je repasserais.

 

Je reviens en arrière dans ton commentaire : l'Amour "ça", dans le "ça", ce n'est pas l'Amour ( l'Amour "moi" serait plus proche de l'Amour comme il me semble que beaucoup le conceptualise par l'expérience : l'Amour avec le grand "A" ). C'est une pulsion ponctuelle, éphémére [1] et de ce fait ce n'est pas l'Amour avec le grand "A" dans lequel on s'installe, qui doit durer.

[1] en précisant que la pulsion pourrait naître des variations de taux d'eau dans le corps, je reconnais bien là ton côté "poséidien" ( après "dyoisien", "appolinien" allons-y pour "poséidien" bien que tu sois la seule personne de ma connaissance à qui j'appliquerais cet adjectif ).

Puis tu reviens à la Beauté, comme quoi Amour et Beauté semblent indissociables ( je crois que la lecture du Banquet de Platon peut apporter quelques précisions ). Et là je me rends compte que je pense instantanément à une série télévisée à l'eau de rose dont le titre "Amour, Gloire et ..." ... Putain de conditionnement.

Alors oui il est souhaitable d'étendre la notion d'apparence afin que ne s'en tienne pas uniquement au corps ( sans rejet du dit corps qu'on adore bien entendu ) :

La Beauté du geste ... belle expression. Il y a comme une forme de gratuité, un désintéressement, de la beauté en soi dans le geste beau...

La belle Action ... Plus de panache, consciemment ( quasi vulgarité ) ou inconsciemment ( force le respect )...

Le beau temps : lumineux, air vivifiant, bien être, osmose de l'individu dans son milieu beigné de lumière

etc ...

Le Beau pour susciter Amour doit être lié à la personne mais pas nécessairement uniquement à son apparence physique. On peut étendre l'apparence afin qu'elle englobe le geste ( ou l'action ).

Puis tu évoques la tyrannie et là je me dis que j'aurais pu choisir un mot moins agressif, moins lourds de sens, moins instinctif, moins "ça". Mais ne sous-estimons pas le sens figuré du terme :

"Fait de s'imposer d'une manière impérieuse et absolue à l'esprit, aux sentiments, à la volonté de quelqu'un."


Image forte, presque violente mais ne pas omettre que dans le cas de la tyrannie de la Beauté, la victime est inconsciemment consentante : "ça" pulsion le soumet et suscite l'intéret voire l'amour ( amour "ça" bien sûr ).

Puis viens ce passage :

"et on peut lui donner le bon dieu sans confession, on arretera de lui donner quand on ne sera plus sensible a cette beauté. (et cette beauté ou ce bon dieu, ira crever avec les autres dieux dans la lumière de notre conscience pour les plus doués d'entre nous ou dans les bas fonds de l'inconscient pour les plus sensibles)"

Je ne vais pas d'écortiquer l'assertion. Je la prends comme un pur moment de poésie, un moment de poésie totale. Je me contente de relever pour que le poch' de passage ( habitué ou pas ), lise bien attentivement ce passage afin de le méditer dans ces instants perdus.

Comme tu finis par l'écrire, tout n'est pas au plus clair mais je me suis efforcé de me ( et vous ) décrypter tout ça afin de faire ressortir de ce chaos... la Beauté.

Portrait de edhel

"Sur la notion de "ça"

"Sur la notion de "ça" étendue au couple ... j'ai pas bien tout compris. Ca avait l'air d'être une idée clé. Dommage je repasserais."

en fait, c'est est ce qu'on peut extrapoler les explications qu'il a sur le couple ou le goupe.

il me semble que oui.

"Le ça est donc la résultante ..." je crois qu'il faut lire "Le moi..." si j'ai bien compris les notions de "ça",  "

" Le ça est donc la résultante ..." c'est extrait de wikipedia.

il y a du ca inné, et du ca aquis.

 

 

 

Portrait de fabou

Instinct de survie, brahmane, ça et moi

Je pensais que ce comme quoi nous étions perçu (le "moi) était le fruit du conflit entre pulsion (le "ça") et interdit (le "surmoi"). Le "ça" était l'expression d'un instinct de survie individuel, le "surmoi" celle d'un instinct de survie de la communauté qui parfois entre en conflit avec le premier : ce qui est bon pour la communauté ne l'est pas nécessaire pour l'individu.

L'instinct de survie communautaire induit :

  • le sacrifice pour la communauté (individu transendé et consentant)
  • l'auto-régulation violente (voir et/ou lire Narayama)

L'instinct de survie communautaire entre en conflit avec l'instinct de survie individuelle du fait de l'auto-régulation que s'applique le sur-organisme social...

Après c'est un peu idylique de voire la communauté comme un sur-organisme doté d'un instinct de survie sous l'emprise duquel il est amené à commettre des actes d'auto-régulation cruels au niveau de l'individu (certains individus: minorités, ...). La communauté n'est peut être somme toute qu'un rassemblement d'individus avides de soumettre son prochain. Ceux qui y parviennent sont les maîtres du moment jalousés par leurs victimes du moment. Il n'y a pas dans ce contexte d'interdits autres que ceux qu'imposent les dominants sur les dominés afin que perdure leur pouvoir (voir à ce sujet les brahmanes dans le système de castes indien).

La prochaine fois, je réviserais la psychanalyse.

précisons :

> l'oppression - une oppression teintée d'admiration - est bien le sentiment que je ressens face à quelqu'un de beau

tu veux parler d'une personne de n'importe quel sexe ? (question débile pour quelqu'un qui parlait de l'abolition des sexes mais bon).

c'est ce que tu éprouves vis à vis un homme beau ou (ou inclusif) d'une femme belle ?

 

Portrait de fabou

Je pensais à une femme

Je pensais à une femme en fait. Effectivement, ça vaut le coup de préciser. Même si je sais reconnaître un bel homme quand j'en vois un, mais la ressenti n'est pas le même. Probablement, la dimension sexuelle joue un rôle dans la perception de la personne ( ce qui rend difficile l'abolition des sexes ) et en particulier dans l'appreciation de sa beauté.

...

En tout cas elle fait parler cette petite citation ;-)

Portrait de borniol

la beauté ne réside pas dans les choses

mais dans le sentiment que nous conférons aux choses. 

-- Topette

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