« Un logiciel libre se dit d’un logiciel qui donne à toute personne qui en possède une copie, le droit de l’utiliser, de l’étudier, de le modifier et de le redistribuer »
je dirais la même chose du corps (refuge et prison). Y a t-il une chance de trouver les clés pour s'en extraire ou s'en libérer ? Pas sûr... Dans chacune de ces prisons, la connaissance du corps par l'expérience ou de l'esprit respectivement permet à priori de s'en libérer, même si l'on s'y trouve toujours d'une manière ou d'une autre, comme si ce refuge ou la prison était en perpétuelle expansion... Faut-il chercher du coté du corps (souffle) la clé pour "sortir" de celle de la pensée et inversement ? En tout cas, tout ceci ne se pense pas, mais s'expérimente. Et à quoi bon sortir, si dehors c'est le vide ?
Pour revenir à la "citation" et ce que j'entendais par là - le propre de ces formules courtes est de pouvoir être interprétées diversement, ce qui induit la confusion :
La pensée est une refuge car elle peut prémunir contre le conditionnement i.e l'inculcation volontaire ou involontaire de la part d'une entité collective de certains automatismes de pensée sur les individus qui en font partie, ces automatismes étant dictées par la nécessité d'instaurer une certaine unimorphisation des esprits qui vise à un optimum cybernétique.
[ Plus ça va et moins je comprends ce que j'écris. ]
L'individu dans sa quête d'une existence en propre qui ne soit pas entièrement tributaire du groupe, élabore des stratégies de contournements qui passe par la pensée, la réflexion, le décryptage de son environnement, l'interprétation de sa perception de la réalité suivant une échelle de valeurs personnelle, du moins qualifiée comme telle. C'est en ce sens que la pensée est un refuge.
Mais elle peut devenir alors une prison lorsqu'elle tente par exemple de lever les paradoxes inhérents à la nature humaine en faisant usage d'une manière orthodoxe d'outils tels que la logique. En résulte alors une certaine souffrance mentale, un mal être.
Nous naviguons ( j'écris "nous", je devrais écrire "je" ) sur les 2 versants, passant de l'un à l'autre via la voie du milieu qui est le parfait équilibre entre ces 2 tendances, équilibre instable où la maîtrise du souffle peut aider à ce maintenir. La pensée devient alors expérience.
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je dirais la même chose du corps (refuge et prison). Y a t-il une chance de trouver les clés pour s'en extraire ou s'en libérer ? Pas sûr... Dans chacune de ces prisons, la connaissance du corps par l'expérience ou de l'esprit respectivement permet à priori de s'en libérer, même si l'on s'y trouve toujours d'une manière ou d'une autre, comme si ce refuge ou la prison était en perpétuelle expansion... Faut-il chercher du coté du corps (souffle) la clé pour "sortir" de celle de la pensée et inversement ? En tout cas, tout ceci ne se pense pas, mais s'expérimente. Et à quoi bon sortir, si dehors c'est le vide ?
-- Topette
La pensée devient alors expérience
Pour revenir à la "citation" et ce que j'entendais par là - le propre de ces formules courtes est de pouvoir être interprétées diversement, ce qui induit la confusion :
La pensée est une refuge car elle peut prémunir contre le conditionnement i.e l'inculcation volontaire ou involontaire de la part d'une entité collective de certains automatismes de pensée sur les individus qui en font partie, ces automatismes étant dictées par la nécessité d'instaurer une certaine unimorphisation des esprits qui vise à un optimum cybernétique.
[ Plus ça va et moins je comprends ce que j'écris. ]
L'individu dans sa quête d'une existence en propre qui ne soit pas entièrement tributaire du groupe, élabore des stratégies de contournements qui passe par la pensée, la réflexion, le décryptage de son environnement, l'interprétation de sa perception de la réalité suivant une échelle de valeurs personnelle, du moins qualifiée comme telle. C'est en ce sens que la pensée est un refuge.
Mais elle peut devenir alors une prison lorsqu'elle tente par exemple de lever les paradoxes inhérents à la nature humaine en faisant usage d'une manière orthodoxe d'outils tels que la logique. En résulte alors une certaine souffrance mentale, un mal être.
Nous naviguons ( j'écris "nous", je devrais écrire "je" ) sur les 2 versants, passant de l'un à l'autre via la voie du milieu qui est le parfait équilibre entre ces 2 tendances, équilibre instable où la maîtrise du souffle peut aider à ce maintenir. La pensée devient alors expérience.
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