En attendant la popup qui va bien pour pouvoir lire nos billets tout en écoutant la musique des poch (sans qu'elle s'interrompe), voici un avant goût du futur juke poch.

logique:

freud est un con.

je suis un con.

je ne suis pas freud.

Rares doivent être ceux parmi nous (au sens large allons jusqu'au bord des frontières de notre monde occidentale) que ce film doit laisser insensibles. Celui que n’émeut pas ce film n’a pas ressenti la nostalgie de cette Nature (paradoxale car il ne l’a pas connue, mode de vie moderne oblige) qui pousse le « héros » vers les vastes espaces, vers toujours plus de dépouillement, du dépouillement des illusions et des mensonges dont il (on ?) s’est paré. L’indifférent a atteint un stade de l’évolution où la rupture avec la Nature (-faudrait préciser ce qu’est cette Nature-) est complète. Cette quête de l’être, ce retour au primordial, il n’en comprend pas les motivations. C’est pour lui au mieux une révolte de jeune adulte mal « gérée ». Pas de trace en lui de cette la lutte entre l’individu et sa Société, entre aspiration à être en soi et conformation sociale. Ce film ne lui dit rien…mais pour les autres…  Lire la suite ...

Joli film (ça veut tout dire et rien dire) que vous trouverez vous savez où hein les poch'...

Quelques mots dessus : une floppée de personnages dans un bidon-ville japonais. Des tranches de vie, des anecdotes, des caractères inquiétants, attendrissants, loufoques, tristes ou joyeux ou les deux à la fois... Des tourbillons de vie au rythme du tramway... Suis sorti de ce film comme on sort d'un bar vers les 02 ou 03h du mat'...

pour un temps. comme (les petits enfants) qui tombent du balcon "Mais il ne reste qu'un instant ..."

je lui dédirais bien mon futur cancer du poumon , mais je ne suis pas sur que ce soit du meilleur gout.

donc plutot lui laisser ces propres paroles:

"Le souffle coupé
La gorge irritée
Je m'époumonais
Sans broncher

Angora
Montre-moi d'où vient la vie
Où vont les vaisseaux maudits " (angora)

mais, oui, où vont ils ? maintenant qu'il a la réponse, " j'ai dans les bottes des montagnes de question où substiste encore ton echo. " (la nuit je mens)

(volutes) "partent en fumée, vers de flutes enchantée" trompettes de la renommée, faite lui bon accueil "sous nos yeux embuées"

il y a (des lendemains qui tuent), il l'a connu.

(je fume pour oublier que tu bois), où je m'incendie (volontaire), peut être y aura-t-il une (legere eclaircie) un jour dans le rock francais.

"peu a peu, je me détache sans laisser d'auréoles. peu a peu tout me happe."

(j'ecume). tout ca, (c'est la faute a dylan....)

le voila (happy, apiculteur)

enfin "les paroles en l'air ca me sidère, ca me scie"  Lire la suite ...

Rien à voir avec Rodolphe Burger ou les musiques du Juke Poch habituelles... Pour varier les genres, et comme les vidéos de youtube ne durent qu'un temps... autant en garder une version précieusement sur poch. Voici un autre tube bollywoodien romantique à souhait du même film DDLJ... c'est marrant mais je préférais la version et le son saturé de basse de l'autoradio k7 de l'ambassador.

Lorsque sur les trottoirs de Nantes ma p'tite mère a entendu cette bande de joyeux lurons, elle a tout de suite craqué son porte monnaie. Elle ne fume pas mais qu'est-ce qu'elle peut picoler la bretonne (du blanc, du rouge, du rosé, en bref tout ce qui contient des ° ). Aussi en entendant le CD qu'elle a bien voulu me préter après d'âpres négociations, je suis tombé sur une des chansons de l'album et j'ai tout de suite pensé à notre bon Edhel !!

Pour mieux connaitre la Famille Patchounharouf, ces chanteurs de rues qui j'espère deviendront vite des chanteurs de salles "fumeuses" s'il en existe encore dans des recoins cachés du pays... c'est ici !

 Pourvu que ça dure...

Tout un programme ...

Bon alors petit exercice de logique :

on existe plonger dans un "environnement", terme que j'utilise pour désigner l'espace, le temps, l'espace-temps ou plus généralement et de façon plus abstraite ce qui permet à ce qui est plongé en lui d'exister.

Si Dieu existe il fait parti de cet environnement et en tant que partie il ne peut être Dieu (car Dieu n'a pas de parties...où une infinité et là j'ai le pressentiment que c'est un peu la même chose). Seule possibilité pour Dieu d'exister : être cet environnement qui pour être doit lui-même être plongé dans un environnement englobant etc ...

Moralité : Dieu est un processus itératif qui n'arrive jamais à terme. Il tend à exister sans jamais y parvenir. C'est une affaire de croyance ou tout pseudo-raisonnement logique n'a pas lieu d'être. On trouvera tout une floppée de démonstrations de l'existence de Dieu. Faites vos courses où vous le sentez. Avec un pouvoir d'achat accru comme le nôtre on devrait pouvoir trouver ce qui nous va.  Lire la suite ...

entendu au taj mahal (symbole universel de l'amour d'un roi pour sa femme) ou alors c'est mes oreilles: 

2 touristes se promenent: 

la femme :- il devait l'aimer beaucoup.

réponse de l'homme: - oui, mais au moins elle , elle est morte.

c'est du joli !!

Quelques photos prises sur les routes du Rajasthan...

 

 Ganesh et sa souris (mûshaka)

 Ranakpur

Slow train coming I

Slow train coming II

Road Runners...

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Après la diffusion de la pensée poch sur internet (ici même), au Rajahstan (comme j'imagine certain poch' qui se disait prêt à théoriser le concept d'anarchie dans une madrassa ;-)), prochaine étape l'espace :

http://www.spaceisthelimit.com/

Ben oui, on a l'impression que nos messages trop nombreux ?, ne sont pas lus, ne percutent plus ...(je précise : impression générale - pas spécifiquement ressentie par les poch')

là il faudra réfléchir à la quintessence de la pensée poch', la réduire à un bel aphorisme et hop, dans l'espace - la place qui lui convient le mieux ?

amusant non ?