sur les méthodes de guerisson de la dépression, faisant le lien entre neuroscience, psychanalyse, méditation orientale et médecine chimique.
on y apprend des choses tres interessantes sur le fonctionnement du cerveau :
(l'emprunte laissée par les traumatismes inhibant le cortex frontal lieu de la reflexion, l'amydale bloquant ce fonctionnement. le cerveau -lymbique je crois, ayant stocké ce traumatisme est en "hyperfonctionnement" faisant que chaque situation est precue comme stressante- petite digression sur un autre article concernant les rats disant que dans une hierarchie de rat, les plus stressés sont les dominants...la peur de la perte de statut). cet hyperfonctionnement détruisant certains neurones ne permettant pas un retour arrière facilement pour parler vulgos.
un concentré de neuroscience racontant entre autre:
- l'angoisse empeche de penser à autre chose - comme le disait spinoza en son temps.
- inhibition de la partie du cerveau lié au mouvement.
- les antidepresseurs entrainent souvent une rechute car seulement paliatif.
- la meditation réactive le cortex.
- idem pour le sport générant son cocktail de neurotransmetteurs.
- des exercices de mouvement des yeux de gauche a droite (méthode machin utilisé par les psychiatres) permettant d'archiver les informations (des mouvements des yeux ont lieu pendant que nous revons, c'est le meme mécanisme qui est mis en jeu). et donc activer l'oubli.. (efficace au bout de 3 scéances).
etc. etc.bref, j'aurais du noter en regardant le truc, mais j'essaierais de vous retrouver ca: ce reportage est un bon liant dans la théorie moniste de poch. et un belle demo de neuroscience.
la source concernant les rats est ici: dans un mémoire intitulé: Les signes d’une philosophie à venir
http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/0/30/47/61/m005-les-signes-lecazals.pd...
Commentaires
Dépression
Merci.
Beau sujet en effet autour des recherches de JL Servan Schreiber aux Etats Unis et vaste panorama des thérapies actuelles.
Déjà disponible sur Internet pour revoir ce programme trop tardif.. .
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