« l'essentiel est invisible pour les yeux »
« Nous voici parvenus à l’une des bornes du désert. Au delà, les sables vierges, les immensités sans eau, la mort. Tout de suite nous sommes jetés dans cette implacable solitude, plus imprenable assurément que les forteresses les mieux assises ». Ernest Psichari « Le Voyage du Centurion », Chapitre VI : « Ouadan ». Lire la suite ...