« Quand nous parlons, nous parlons de quelque chose, mais ce dont nous parlons n'est pas déterminé (en soi). Alors, parlons-nous de quelque chose (quand nous parlons), ou ne parlons-nous jamais de rien ? »
Si le vrai bonheur ne dépend que de nous, ce "nous" c'est bien quelqu'un, en l'occurence nous-même, donc le vrai bonheur dépend bien de quelqu'un ... de nous.
D'autre part, cet absolu auquel on fait fasse au cours de son existence ( si ce n'est pas à lui c'est au concept associé qu'on a à faire ) est une "chose" limite i.e vers lequel on tend mais qu'on atteind pas, du moins pour ce que j'en sais ( c'est à dire rien ).
D'expérience, parfois certaines sensations ( physiques et / ou psychiques ) semblent plus surgir de moi-même que de conditions extérieures.
Commentaires
je suis un rhéteur invétéré
Si le vrai bonheur ne dépend que de nous, ce "nous" c'est bien quelqu'un, en l'occurence nous-même, donc le vrai bonheur dépend bien de quelqu'un ... de nous.
D'autre part, cet absolu auquel on fait fasse au cours de son existence ( si ce n'est pas à lui c'est au concept associé qu'on a à faire ) est une "chose" limite i.e vers lequel on tend mais qu'on atteind pas, du moins pour ce que j'en sais ( c'est à dire rien ).
D'expérience, parfois certaines sensations ( physiques et / ou psychiques ) semblent plus surgir de moi-même que de conditions extérieures.
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