« C'est pas en grimpant sur les tables qu'on prend de la hauteur »
— Un poch au bar
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Juke-Poch'

Portrait de fabou

Nirvana - Love Buzz


DE THIEFAINE A NIRVANA JUSQU'A COBAIN - DE L’ADOLESCENCE A L’AGE ADULTE EN MUSIQUE

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3:35 minutes (3.29 Mo)
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Portrait de Full Moon

Peter Von Poehl - Going To Where The Tea Trees Are


3:38 minutes (4.16 Mo)
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Portrait de borniol

Là-bas si j'y suis


« Si votre seul outil est un marteau, tous les problèmes pour vous ressembleront à des clous ». Mark Twain

C’est pourquoi « Là-bas si j’y suis », en faisant un pas de côté, essaie de voir et de dire autrement le vaste monde ,le coin de la rue, autrement vu, autrement dit, depuis septembre 1989, un regard critique, poétique, politique, parce que le silence des pantoufles est plus inquiétant que le bruit des bottes.

Et parce que, disait Desproges, l’ennemi est très con, il croit que l’ennemi c’est nous alors que c’est pas vrai puisque justement c’est lui

Le Best Of de la saison 2006-2007 :  Lire la suite ...

56:13 minutes (38.61 Mo)
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Portrait de borniol

Seyni & Yéliba


Chanteur engagé et militant, danseur professionnel (Koteba d'Abidjan, ballet national de Guinée), acteur et compositeur (La Vie Platinée de Claude Cadiou avec Mamady Keita dans lequel Salif Keita interprète des morceaux de Seyni), musicien pour Mory Kanté (tournées en Afrique), Seyni est le précurseur du Reggae Yankadi (rencontre des rythmes traditionnels Guinéenes et du Reggae Jamaïquain). Il lie les rythmes traditionnels guinéens et le skank jamaïcain.

La formation se compose de musiciens utilisant des Balafon, des Kiris, des percussions, une guitare, une basse et une batterie. Leur discographie est maintenant bien étoffée avec un 1er ep en 1999 "Allah Niki", suivit de "Nanen 2000, puis de "Limanya" en 2001 et un "Best of - N'tara" qui a vu le jour en 2003. Suite à quelques live, Musicaction permet a Seyni & Yéliba d'enregistrer un live qui sortira en 2006 sous le nom de "Liberté - live", un pur moment de vibes from Mama Africa

http://www.seyni.com

3:38 minutes (4.72 Mo)
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Ken Boothe


Monument historique du reggae jamaïquain des années 1960/70. Ce titre est issu du LIVE A PARIS de septembre 2004.
Du bonheur !! Je ne peux que vous conseiller d'ecouter le live en entier
Plus d'infos sur le Web : reggaefrance.com et novaplanet 4:16 minutes (9.77 Mo)
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Glenn Washington


A découvrir pour les amateurs de reggae !
Plus d'info sur wikipedia
Le Riddim se nomme "Fade Away" et a été repris notamment par Horace Andy : plus d'info sur ce Riddim ici

3:25 minutes (4.73 Mo)
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Portrait de edhel

dean martin - sway


voila la version originale de ca: diams et une parodie de brassens !! vous trouverez dans les commentaires la preuve par l'image et le son. la parodie de brassens est excellente, on y trouve aussi une reprise du Mia toujours par brassens ...

2:50 minutes (3.91 Mo)
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Portrait de edhel

jean patrick capdevielle: l' autre approche du désert


jean-patrick capdevielle - quand t'es dans le désert je vous propose une petite piqure de désert pour rappel. en attendant normalement un billet collectif sur le sujet ...inch allah.

3:37 minutes (3.33 Mo)
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Portrait de borniol

Groundation - 01 - Long, Long Ago


Dès l'intro de Long Long Ago, qui ouvre ce Young Tree; le SON de Groundation frappe tout de suite les oreilles : clair, sec et rond à la fois, il fait claquer la gratte, ressort la douceur de la flûte, pose la voix feulante de Harrison Stafford juste à bonne distance des instruments...un régal d'équilibre et de précision ! La MAGIE continue d’opérer avec Glory to the Kings ou les ingrédients de Groundation apparaissent clairement, ce son donc, la richesse des instruments, des chœurs, des arrangements, et la VOIX qui rôde entre les aigus et les graves, qui fait frémir et résonner les mots. Pas une voix de rasta fatigué. Pas une voix de bobo énervé. Une voix qui sort des tripes, qui sort des roots, comme il n’en était pas apparu depuis bien longtemps…depuis… L’univers de Groundation c’est cette force musicale, mais aussi la beauté de la pochette de Young Tree, la force des textes qui dénoncent bien sûr les dérives et la cruauté de la vie babylonienne, Groundation c’est un univers qui vous accueille, qui vous réchauffe, vous êtes la graine et la sève de ce jeune arbre qui vient d’être planté et qui ouvrira ses branches pour protéger d’autres plantes plus faibles !  Lire la suite ... 6:51 minutes (9.42 Mo)
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Portrait de borniol

Groundation - Down


En attendant de poster une video du concert de Groundation - 21/02 au Reggae Fest (Part1) d'Annecy, je ne résiste pas à vous faire partager le 2ème titre - "Down" de leur dernier album "Upon the bridge" qui se termine sur un magnifique solo de trompette !

Allez les voir sur scène, c'est de la Bombe ! Poch' Powa !

Ils sont malheureusement complet sur leur prochain concert à Paris - le 01-03-2007.

Leurs prochaines date : http://www.infoconcert.com/html/artiste.php?id=29286

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4:16 minutes (5.7 Mo)
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Portrait de borniol

Groundation - What Could Have Been


Biographie :

Groundation naît en 1998 de la réunion de trois Californiens : Harrison Stafford (leader et guitariste), Marcus Urani (clavier) et Ryan Newman (basse) se sont rencontrés à l'université de jazz, première musique sur laquelle ils jettent leur dévolu. Mais le groupe va finalement se tourner vers le reggae et passe du coup de trois à six membres.

Pratiquant un reggae roots mélangé à une inspiration moderne, Groundation développe des mélodies d'influences jazz et dub. En 1999, leur premier album "Young Tree" sort sur label du même nom. Un album concept emprunté de textes conscients qui traitent de la connaissance de soi-même. Deux ans plus tard, le groupe retourne en studio et revient avec l'opus "Each One Teach One". Mixé par Scientist, l’album entame une collaboration régulière avec des pointures jamaïcaines. Sur Each One Teach One, c’est le percussionniste Ras Michael que l’on retrouve.  Lire la suite ...

5:41 minutes (7.61 Mo)
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Portrait de edhel

Comment dormir au bulot :


Chloe Mons, Alain Bashung et Rodolphe Burger . lecture - Une petite lecture des lettres de Calamity Jane à sa fille par Bashung avec la guitare de Burger pour la digestion ? un excellent album sur la condition de la femme dans le far west... sérieusement, les chansons sont tres biens. http://www.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/acr/fiche.ph... http://fr.wikipedia.org/wiki/Calamity_Jane 6:21 minutes (5.82 Mo)
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Portrait de Full Moon

Tiken Jah Fakoly


Figure de la nouvelle scène reggae ivoirienne sur les traces de son illustre prédécesseur Alpha Blondy, Tiken Jah Fakoly est aussi un des porte-parole de la jeune génération de son pays face aux difficultés politiques. Brievement, troisième enfant de la famille, Doumbia Moussa Fakoly naît le 23 juin 1968 à Odienné au Nord-Ouest de la Côte d'Ivoire. Issu de l'ethnie malinké, il est le descendant d'un chef guerrier, Fakoly Koumba Fakoly Daaba, et membre d'une famille de griots, ces dépositaires de la tradition orale contant Histoire et légendes d'un peuple, d'un pays, mais aussi l'histoire des familles. L'art des griots étant intimement mêlé à la musique. La suite, on la connait, après quelques albums, c'est la concécration, deux soirées au Zénith rempli à craquer. Allez, pour la route, un extrait de son dernier album en attendant le prochain avec impatience. http://www.tikenjah.net/ 4:11 minutes (5.75 Mo)
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Portrait de fabou

R.L.BURNSIDE - Wish I was in Heaven sitting down


Un bon vieux blues remis au goût du jour. Rustique et moderne à la fois. La voix grailleuse de papi Burnside bercera vos têtes de poch' de fin fond de soirées. J'aime beaucoup. 3:42 minutes (3.4 Mo)
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Portrait de borniol

Jack the Ripper - Book of Lies


Quand on aime, on ne compte pas... voici un extrait du premier album de Jack The Ripper "Book of Lies" avec le titre "Prayer in a tango" qui fait toujours un carton lors de ses concerts. La critique de Popnews à la sortie de l'album : [...] Malgré leurs cinq années passées à écumer les scènes parisiennes devant un public de plus en plus large et de plus en plus fidèle “Book Of Lies” est le tout premier album de Jack The Ripper. Avec un nom comme ça et une révérence avouée (voire clamée) pour Nick Cave la musique de Jack The Ripper ne risque pas d'être guillerette. Et effectivement ce n’est pas vers les prés luxuriants que nous entraînent les neuf morceaux de leur album mais bien vers les culs de basses-fosses de la nature humaine. Oscillant lentement mais implacablement entre frustration, rejet de l’autre et de soi même, sombre histoire de meurtre et fin de non recevoir, il est clair que l’univers gothique sied a merveille aux mélodies sombres du groupe. Parler d’une trilogie 16 HorsePower - Leonard Cohen - Noir désir semble assez évident mais de par trop restrictif pour décrire la sombre musique des sept Parisien.  Lire la suite ... 5:24 minutes (7.47 Mo)
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