"le cerveau est plein de fentes, et que ca saute et que ca saute dans un regime probabilitiste, qu'il y a des rapports de probabilité entre deux  enchainements" (3'00)

"tantot on comprend, tantot on compend pas"; on est toujours à la pointe de son ignorance" (11'50).

S'il y a des pensées qu'on ne comprend pas (souvent les siennes) franchement, c'est un pur bonheur le passage au hasard sur deleuze. "ca marche" (12'35)

je reviens de comité de scientifiques, des gens que je quilifierais de savants, soirée "social event". (la faute de frappe me pas écrire eventé).et j'entends: "on n'a pas besoin de savoir grand chose" (14'55)

pour cotoyer quelques minutes et parfois plus ,de personnes "scientifiques", j'ai l'impresison que tout se termine dans la probabilité, en effet black swan  (le signe noir n'existe pas tant qu'on ne l'a pas vu) et statistiques. quelque soit le domaine. la science se termine par les stats: quand on ne sait plus on peut toujours évaluer.  Lire la suite ...

Extrait de Pi :

" 12:45 Je reformule ma théorie.

1 Le langage de la nature est mathématique.

2 Tout ce qui nous entoure peut-être mis en équation.

3 Toute représentation graphique d'une équation met en évidence une séquence.

Donc : la nature est faite de séquences.

Preuves:

- Le cycle des maladies épidémiques.

- Les fluctuations de la population animale.

- La récurrence des tâches solaires.

- La crue et la décrue du Nil.

Et que dire de la bourse, un univers de chiffres qui régit l'économie mondiale, des millions de mains à l'oeuvre, des milliards de cerveaux, un immense réseau grouillant de vie. Un organisme, un organisme naturel.

Mon postulat :  les variations boursières dépendent aussi d'une séquence.

Elle est devant moi. Cachée derrière les chiffres. Elle a toujours été là.

12:50 Taper envoi. "

Liens film :http://lookiz.com/films/3j2670ge5p