Anish Kapoor, plasticien contemporain britannique d'origine indienne, est présent actuellement au grand palais dans le cadre de l'exposition monumenta.
Je lis actuellement "La Chine du cauchemar" de Lucien Bodard. L'auteur m'est familié -son style en fait- car j'avais avalé il y a quelques années de cela sa trilogie (L'enlisement, L'humiliation, L'aventure) sur le conflit indochinois. C'est davantage un journaliste qu'un historien mais ses livres sur le conflit indochinois m'en ont plus appris que des livres d'histoire sur le même sujet. Il vous fait entrer au coeur des événements et des hommes. Son style est percutant, rythmé, alletant. Du grand art pour qui sait apprécié. (Je vous laisse vous renseigner sur le personnage si lueur d'intérêt car suis trop paresseux pour vous recopier des morceaux de biographie).
Je vous livre ci-dessous un dialogue rendu par L.Bodard entre 2 protagonistes - une indienne investie dans la cause des femmes et un des principaux "cadres" de l'Associationdes Femmes Démocratiques :
_ En Chine vous agissez comme si vous vouliez changer la nature humaine. Est-ce bien cela le but? Lire la suite ...
Cliquez sur une des images ci-dessous pour lancer le diaporamaPour ceux qui n'auraient pas assisté aux derniers concert de Bashung, voilà ce que ça donnait pendant les 10 premères minutes, et 7 avant l'entrée de la contrebasse, le reste du live est disponible en vidéo et en audio dans l'espace de poch. Immortel
20:54 minutes (28.7 Mo)Comme un ami l'a ressenti : Agnès parle à ton âme ... Encore une nouvelle jolie voix venue du froid
3:49 minutes (9.44 Mo)Comme j'y pense, si Jackie tu avais quelque bande son pour passer l'été à venir, n'hésites pas à nous faire signe, à l'origine des choses et de celui-ci, il y avait ton billet.... alors, en attendant la prochaine, je lève mon poing, à la manière d'un sadhu poch
Rastaman know the truth
So you can't fool the youth
Natty dreadlocks know it's the truth
So you can't fool the youth
Yet you know, yet you know
It's the healing of the nation
Yet you know, yet you know
It's the healing of the nation
En avril dernier, Nadine Morano se rend au Printemps pour une séance de shopping accompagnée de sa fille et d’un garde du corps. Albane, vendeuse au rayon Kookaï, discute avec ses collègues au sujet du gabarit de cet homme et leur déclare : «Pour se mesurer à lui, il faut d’abord casser la gueule à Nadine Morano». Une boutade selon la vendeuse, mais une menace d’après la ministre, qui a tout entendu.
«Aujourd’hui, on ne sait plus quoi faire pour se taper un ministre», dénonce la ministre, qui prétend que la jeune femme «essaie de se victimiser» alors que -selon elle – la vendeuse a «hurlé : Il y a Nadine Morano dans le magasin, si quelqu’un veut aller lui casser la gueule». Lire la suite ...