La déroute des idoles n'a pas étouffé en nous le désir de construire quelques êtres démesurés, étrangers à la raison, capables de contenir toutes nos craintes, et, en même temps de nous conduire aux portes d'un empire incorruptible, paré des augustes prestiges de l'impersonnalité.
Mais, par un bizarre paradoxe, puisque nulle chose, même au bord du néant, ne peut nous arracher au souvenir de notre condition, il semble qu'aujourd'hui la première de ces figures mythiques, encore obscure et tremblante comme un monde naissant, ne soit autre que l'Homme lui-même. Dans les définitions qu'il se donne de sa propre nature et de son propre destin, il n'est pas un trait, pas une notion qui ne le dépasse. Son ombre gigantesque l'entraîne et il la suit en gémissant.
La part de l'Ombre (1967)
un lien parce qu'il existe (donc non sans fondement)
mais sinon je conseille quand meme de ne pas reflechir en ce début d'été.
de ne pas lire de bouquin, de n'avoir d'avis sur rien et de ne rien dire.
en gros, sous le soleil, être un legume .
POCH POWA !!
Bon, je résume :
plus un aliment est cher moins il est calorique. Ca semble fou dit comme ça et pourtant c'est bien le cas d'après cette article qui traite du maïs. Le maïs le moins cher est le plus nourrissant (calorique) parcequ'il contient du sucre ajouté pour compenser son goût fadasse. Je fais mine de m'étonner mais l'on vit dans un pays où l'obésité est sur-représentée parmi les classes sociales plus modestes (les pauvres quoi). Le gros bourgeois plein de soupe, ça n'existe plus sauf en Chine mais là ils débarquent. Encore quelques décennies et ils atteindront le même niveau de décadence que par chez nous (tout de suite les grands mots). Le pauvre, lui n'a plus rien de famélique, il est gras, enfournant des aliments que certains voudraient addictifs (il faut bien fidéliser sa victime) devant une télé qui lui gave la tête à lui en faire péter les neurones. Bref, le meilleur des mondes le plus fou. En gros, on marche sur la tête par ici.
Suite de l'exploration "low-fi" du folklore américain...
1:41 minutes (1.57 Mo)
Pour continuer dans le blues, en voici un Harry Manx, qui dans quelques-uns de ses albums ('Wise and Otherwise" notamment), fusionne blues et musique indienne. Ceux qui ont vu le film des poch du Rajasthan reconnaitront le clin d'oeil à cette "Foxy Lady" même si elle ne vaut pas la version originale d'Hendrix. Mais, le but était plutôt de faire découvrir ce Harry Manx à ceux qui s'intéressent aux blues et à l'Inde.
Pour les poch avertis, vous trouverez toute la bande son du film de poch au Rajasthan dans l'espace où vous savez.
2:58 minutes (2.73 Mo)Bon, dans le souci de coller à l'actualité, une petite connerie sur la Burqa :
Une fois le saut terminé, il faut ranger le parachute ;-)