voila d'autres doux reveurs, je crois.
http://collectif2lafolie.forum-actif.net/
le truc est tout jeune, j'ai recu un mail de se mise en ligne.
a voir si ca prend...
en parlant de bignou....
franchement, il faut remplacer breton par poch. c'est assez terrible...
la suite voudrait qu'il y ait l'originale de wish you where here des floyds ...
sinon, toujours dans la rubrique juke poch: dans le dernier album de Charlélie Couture, NewYorCoeur (humour) tres bonne chanson :jamais assez, (never enough) dans le genre rock-blues pechu (avec harmonica et tout). excellent.
3:10 minutes (2.9 Mo)des fruits de mer !! pour des animaux. et le respect de la vie merde !
et dans le meme ordre d'idée et pour mémoire:
le summum de la chaine alimentaire: faire pipi sur une bébé requin :o)
quand la science sans conscience devient la ruine de l'ame.
et quand cette vision bascule dans la criminalité.
je vous conseille le reportage d'arte: Voyage en Cybernétique.
"En 1978, Theodore J. Kaczynski, brillant mathématicien diplômé d’Harvard, prend congé d’un monde qui lui fait de plus en plus horreur, en raison, affirmera-t-il, de l’emprise croissante des technologies numériques. Il s’installe dans le Montana pour vivre en harmonie avec la nature. Mais il se met aussi à fabriquer des lettres ou des colis piégés qui visent des universitaires, des chercheurs, des artistes et des responsables du complexe militaro-industriel américain. Il nargue durant dix-sept ans les autorités qui l’ont baptisé “Unabomber”. Le 3 avril 1996, le FBI arrête Kaczynski, qui a tué trois personnes et en a blessé plusieurs autres. Il purge aujourd’hui une peine de prison à vie. "
Pour ce qui est dit ci-dessous et n'intéresse qu'une minorité qui semble se restreindre petit à petit, autant se mettre à l'aise et se mettre en jambe pour ce qui va suivre avec ce titre de Hubert Félix Thiéfaine : 1ère descente aux enfers par la face nord..ah liberté !
dans la série culinaire, je vous conseille ce site:
http://www.time.com/time/photogallery/0,29307,1626519_1373664,00.html
avec ce que consomme en bouffe une famille pendant une semaine avec le montant (en prix). (apres, il manque le salaire moyen).
bref on y vois des choses comme ca:
(il y a 16 pays en tout: instructif)
Japan: The Ukita family of Kodaira City
Food expenditure for one week: 37,699 Yen or $317.25
Favorite foods: sashimi, fruit, cake, potato chips
Chad: The Aboubakar family of Breidjing Camp
Food expenditure for one week: 685 CFA Francs or $1.23
Favorite foods: soup with fresh sheep meat
ll semble bien que la moralité douteuse l'amoralité sans borne de Monsanto soit enfin prête à être exposée au grand jour, grâce à leur nouveau produit phare le mais transgénique; j'en suis ravie et vous invite à vous coller assidûment à votre télé sur ARTE le 11 mars à 21H pour le film :
Lire la suite ...
Ci-dessous la célèbre Déclaration d’indépendance du Cyberespace que John Perry Barlow (le co-fondateur de la Electronic Frontier Foundation) eu le courage de lire à Davos devant tous les chefs d’Etat de la planète en 1996... Texte toujours d'actualité et vu les temps qui courent : à méditer.
DECLARATION D'INDEPENDANCE DU CYBERESPACE
Gouvernements du monde industriel, géants fatigués de chair et d'acier, je viens du cyberespace, nouvelle demeure de l'esprit. Au nom de l'avenir, je vous demande, à vous qui êtes du passé, de nous laisser tranquilles. Vous n'êtes pas les bienvenus parmi nous. Vous n'avez aucun droit de souveraineté sur nos lieux de rencontre. Lire la suite ...
"Et à quoi reconnaît-on, au fond, la bonne conformation ?
Au plaisir que nous procure l'individu bien conformé : à ce qu'il est taillé d'un bois à la fois dur, tendre et parfumé. Il n'aime que ce qui lui fait du bien ; son plaisir et son envie cessent dès qu'il dépasse la limite de ce qu'il lui faut. Si quelque chose lui nuit, il devine le remède ; il fait tourner la mauvaise fortune à son profit ; tout ce qui ne le tue pas le rend plus fort. II fait instinctivement son miel de tout ce qu'il voit, entend et vit ; il est un principe de sélection, il laisse tomber bien des choses. Les hommes, les livres, les paysages ne l'empêchent pas de rester toujours en sa propre société : il honore en choisissant, en acceptant, en faisant confiance. Il ne réagit aux excitations de tout ordre qu'avec cette lenteur qu'il tient de ses disciplines : une longue circonspection et une fierté voulue. Il ne croit ni à la « malchance » ni à la « faute » ; il sait venir à bout de lui-même et des autres, il sait oublier, il est assez fort pour obliger tout à tourner à son profit.
Décidément, je suis bien le contraire d'un décadent car c'est mon portrait que je viens de faire." Lire la suite ...