Dailymotion n'aime pas le clip et le retire, ... et le responsable du contenu de dailymotion rejoint matignon au pôle de communication du premier ministre
On s'est un peu fait dépasser par les
événements concernant le clip. Mais tant mieux. Quelqu'un l'a replacé
sur Youtube où il fait un carton. Concernant dailymotion, silence
radio. Au début, j'avais du mal à croire à une censure. Puis un
internaute m'a envoyé cet article:
Il n'y a nul part sauf peut-être au coeur de certains individus où le jeux des pouvoirs n'aient cours. Dailymotion est un lieu de compromission parmi tant d'autres. Que ceux qui rêvent de la Toile comme d'un espace de Liberté -sans savoir, comprendre ce que recouvre ce terme quasi magique- se rappellent qu'une Araignée cybernétique y est tapis en son sein scrutant de ces yeux multiples la complexité environnante.
Je voulais écrire en réponse à un autre billet sur le monde des travailleurs et des politicards, et de la déprime ambiante dans le monde du travail aux extrêmes opposés, un billet plus récent, mais comme on ne fête pas tous les jours le retour de max, rien de tel que de revenir sur son précédent billet, surtout que le dernier commentaire de fabou l'a ranimé des profondeurs du poch. 3 ans plus tard, il est question de compromission, ca tombe bien, j'ai peut-être un autre exemple ou un contre-exemple... Bref, toujours est-il que c'est amusant de faire revivre de vieux billets, dont je me rappelle même plus le contenu. Vu que la vidéo semble a nouveau avoir été "censurée" (du moins, le compte n'existe plus et donc toutes ses vidéos.... encore un manchot ? ), ça ne va pas bien m'aider même si je me souviens que c'est un des premiers billet de max, peut-être le premier, d'une série de 2, avec le dernier hier, 3 ans plus tard qui en annonce d'autre de max le photographe de poch. Un peu à la manière de twin peaks ou le temps semble parfois reculer, se recouper et rebondir, le site voit apparaitre de nouveaux commentaires quelques années plus tard, je me demande parfois si le site bug pas un peu, ou si le hasard fait bien les choses, mais bon, revenons àl'objectif premier du commentaire, et donc de compromission, de compromission à tous les niveaux, dans tous les milieux et toutes les disciplines.
Donc pour rebondir ici plutôt que sur le billet d'edhel et le rejoindre sur ces enc..lés de travailleurs et de politicards, billet qui a pris une tournue bien engagée pour un site non violent, mais que je soutiens largement par solidarité, sans compromission. A l'oigine, une drôle d'actualité pas commune, même si en ce moment la mode est aux problèmes des riches, en voilà une pas réjouissante pour le monde du patronat, gagné lui aussi par une vague de suicide. Mais celui-ci ridque de prendre un autre tournure que celle des dizaines d'employés du téléphone et des autres entreprises ou ils semblent bien provoqués bon gré, mal gré, surtout que le gars a envoyé un dernier email avant de se pendre. De là, a ce qu'un directeur s'immole par le feu sur la place publique et déclenche la révolution, on l'aurait notre révolution des pays riches.
Déjà rien que le titre. Fnac : le suicide d'un directeur illustre la violence d'entreprise
________ Le constat
« Je viens de faire ma dernière réunion téléphonique hier. Fin d'un règne où j'aurais tout donné à cette entreprise. Et je voulais vous expliquer pourquoi j'ai décidé de mettre fin à mes jours aujourd'hui.
Ma mutation professionnelle… et l'extrême détachement de ma hiérarchie sur mes remarques concernant ma position de “personne de confiance” d'un ami, mon coloc, ma vieille branche, que je suivais depuis un an et demi dans sa lutte contre un cancer qui le rongeait. [Cet ami] est mort deux jours après mon arrivée sur Clermont. […] Ils l'ont privé de ma présence, je n'ai pu l'accompagner jusqu'au bout.
Je sentais depuis de nombreux mois déjà que cette mutation allait intervenir. De très nombreux mois. Et ma déprime a commencé dès lors. Et pas du tout au décès de [cet ami].
Je n'arrive pas à l'accepter intellectuellement, psychologiquement, car je ne me sentais pas prêt à abandonner à la fois cet ami malade, et aussi tous ceux qui ont fait de ma vie aixoise un véritable bonheur [une trentaine de noms suivent, ndlr]. […]
J'en veux à ma hiérarchie quand je vois le “pourquoi” de ma mutation : deux directeurs qui ont des familles, des enfants […], il faut leur rendre service […].
[... ] J'ai tout donné à cette entreprise, que j'aime par-dessus tout, acceptant des mutations sans broncher, évoluant il est vrai régulièrement, je ne l'ai jamais contesté. Mais à quel prix : la destruction systématique des amitiés créées, des liens tissés. Ça, on s'en fout. La direction générale s'en fout. Investissez-vous, mais pour l'entreprise. Les amis ? Tu t'en feras d'autres.
________ Les raisons
« Bien sûr j'ai joué le jeu, je vois déjà les réactions à l'annonce de mon suicide, du style : “Mais il a passé un entretien avec conviction… On le sentait motivé”… Mais ne sommes-nous pas des acteurs ? Nous sommes rompus au mensonge et à la comédie.
Avais-je le choix ? Bien sûr que j'avais choisi Clermont, mais il fallait que j'en mette un de toute façon […].
Vous allez voir la levée de boucliers, les RH région accomplir des prouesses pour trouver la moindre bribe sur moi et trouver la parade aux vérités toutes simples que j'ai exprimées : il a été muté et il a accepté à chaque fois, il a été augmenté régulièrement, il a évolué à chaque fois (sauf la dernière) […]. »
______ Discrimination
« Discrimination : là aussi je veux expliquer que j'ai fait profil bas quand, lors de la dernière convention directeurs à Paris, je suis arrivé en jean d'un bon faiseur, de chaussures Santoni, d'une chemise et d'une veste en velours côtelé d'une ligne casual là encore d'une bonne maison…
Mais mon erreur a été que la couleur de la chemise, rose, et de la veste, fuschia, ne soit pas en accord avec la bienséance… Alors on me prit le bras pour me demander “qu'est-ce que c'est que cette veste de PD ? ” […]
Moi qui défends des valeurs morales et humaines basées sur l'anti-discrimination, raciale ou sexuelle, me voilà attaqué sur ce terrain.
Ce pauvre [supérieur hiérarchique direct auteur de la remarque homophobe], piloté par [le haut cadre], mormon dans l'âme, qui ne supporte pas qu'une tête dépasse, qui veut tout contrôler, était bien emmerdé ensuite. Je lui ai pardonné, pas à monsieur [le haut cadre]. »
_____ Pression
« On nous fait faire des formations sur le management du bien-être au travail : tourné vers les employés, pas les cadres et encore moins les directeurs à qui, par ailleurs, la direction générale retire avec métronomie la substantifique moëlle de plaisir de ce métier pour l'avilir à un simple “passe-plat” décisionnel.
On nous demande de mentir régulièrement, de lire des présentations sans âme préparées par des caciques, présentations partagées avec nos équipes avec “conviction” comme on peut l'imaginer d'un travail que vous n'avez pas préparé.
Là encore, tellement peur qu'on ne soit pas à la hauteur. Mais alors pourquoi nous garder ? Juste pour faire le fusible lors de décisions pénales, notre statut de cadre dirigeant garantissant un bouc émissaire lors de contrôles DGCCRF, de plaintes clients ?
Bien être au travail… quelle fumisterie ; tout le monde en rigole, flairant l'arnaque, mais la direction fait la sourde oreille : s'il y a des tensions en magasin, c'est parce que votre management n'est pas top niveau. Leur politique par contre, c'est la bonne. »
[...] Je ne demandais au mieux que quelques mois supplémentaires […]. On connaît le fonctionnement limite humain d'une entreprise pour l'encadrement : tu refuses une mutation, la prochaine tu récupères un magasin compliqué, peu intéressant au regard du travail accompli et là on te fait comprendre que cela ne peut se refuser : la clause de mobilité […].
_______ Des gens à licencier
« J'ai sciemment saboté une partie de mon boulot à Aix dans les derniers mois. J'en avais ras la casquette, démotivé par une direction aveugle.
Les RH (pas celles des magasins les pauvres, elles font ce qu'elles peuvent), celles des régions et au-dessus : leur obnubilation consiste à monter des dossiers sur les employés et les cadres. “As-tu écrit, as-tu dit… Il faut pas garder untel alors dès que tu peux, tu écris, etc.”
On devient méchant, injuste, voyant le mal partout. Paranoïaque. Il faut noter le moindre retard dans une réponse de mail, le moindre débord, tout tout tout ce qui pourrait servir à étayer un dossier.
Pour ma part on m'impose une cadre pour arranger la région dans une “tournante” éditoriale et il faut, après avoir constaté qu'elle n'est pas à la hauteur, me dépêcher de tout faire pour la virer. Alors qu'on ne lui a jamais rien dit, la pauvre. Certains ont manqué de courage, moi il me fallait aller au feu.
Je n'en peux plus de tout ça. »
_______ Rumeurs d'enc..lés de travailleurs
En interne, les salariés constatent depuis plusieurs années un durcissement du management, qu'ils attribuent à la volonté de PPR de vendre la Fnac. En clair, mieux habiller la mariée pour attirer le meilleur prétendant.
La direction de la Fnac nie toute cause professionnelle à ce suicide, comme à deux autres suicides survenus fin 2010 dans ce groupe de 9 500 salariés en France. Mais des documents dont Rue89 a eu connaissance confirment les accusations du directeur, et montrent à quel point la pression est forte sur les cadres et sur les employés de la Fnac.
Commentaires
Matignon recrute chez Dailymotion
Dailymotion n'aime pas le clip et le retire, ... et le responsable du contenu de dailymotion rejoint matignon au pôle de communication du premier ministre
Ce qu'en dit Denis Robert à propos de ce slam, sur son site :
-- Topette
lieu de compromission parmi tant d'autres
Il n'y a nul part sauf peut-être au coeur de certains individus où le jeux des pouvoirs n'aient cours. Dailymotion est un lieu de compromission parmi tant d'autres. Que ceux qui rêvent de la Toile comme d'un espace de Liberté -sans savoir, comprendre ce que recouvre ce terme quasi magique- se rappellent qu'une Araignée cybernétique y est tapis en son sein scrutant de ces yeux multiples la complexité environnante.
un autre exemple ?
Je voulais écrire en réponse à un autre billet sur le monde des travailleurs et des politicards, et de la déprime ambiante dans le monde du travail aux extrêmes opposés, un billet plus récent, mais comme on ne fête pas tous les jours le retour de max, rien de tel que de revenir sur son précédent billet, surtout que le dernier commentaire de fabou l'a ranimé des profondeurs du poch. 3 ans plus tard, il est question de compromission, ca tombe bien, j'ai peut-être un autre exemple ou un contre-exemple... Bref, toujours est-il que c'est amusant de faire revivre de vieux billets, dont je me rappelle même plus le contenu. Vu que la vidéo semble a nouveau avoir été "censurée" (du moins, le compte n'existe plus et donc toutes ses vidéos.... encore un manchot ? ), ça ne va pas bien m'aider même si je me souviens que c'est un des premiers billet de max, peut-être le premier, d'une série de 2, avec le dernier hier, 3 ans plus tard qui en annonce d'autre de max le photographe de poch. Un peu à la manière de twin peaks ou le temps semble parfois reculer, se recouper et rebondir, le site voit apparaitre de nouveaux commentaires quelques années plus tard, je me demande parfois si le site bug pas un peu, ou si le hasard fait bien les choses, mais bon, revenons àl'objectif premier du commentaire, et donc de compromission, de compromission à tous les niveaux, dans tous les milieux et toutes les disciplines.
Donc pour rebondir ici plutôt que sur le billet d'edhel et le rejoindre sur ces enc..lés de travailleurs et de politicards, billet qui a pris une tournue bien engagée pour un site non violent, mais que je soutiens largement par solidarité, sans compromission. A l'oigine, une drôle d'actualité pas commune, même si en ce moment la mode est aux problèmes des riches, en voilà une pas réjouissante pour le monde du patronat, gagné lui aussi par une vague de suicide. Mais celui-ci ridque de prendre un autre tournure que celle des dizaines d'employés du téléphone et des autres entreprises ou ils semblent bien provoqués bon gré, mal gré, surtout que le gars a envoyé un dernier email avant de se pendre. De là, a ce qu'un directeur s'immole par le feu sur la place publique et déclenche la révolution, on l'aurait notre révolution des pays riches.
Déjà rien que le titre. Fnac : le suicide d'un directeur illustre la violence d'entreprise
________ Le constat
« Je viens de faire ma dernière réunion téléphonique hier. Fin d'un règne où j'aurais tout donné à cette entreprise. Et je voulais vous expliquer pourquoi j'ai décidé de mettre fin à mes jours aujourd'hui.
Ma mutation professionnelle… et l'extrême détachement de ma hiérarchie sur mes remarques concernant ma position de “personne de confiance” d'un ami, mon coloc, ma vieille branche, que je suivais depuis un an et demi dans sa lutte contre un cancer qui le rongeait. [Cet ami] est mort deux jours après mon arrivée sur Clermont. […] Ils l'ont privé de ma présence, je n'ai pu l'accompagner jusqu'au bout.
Je sentais depuis de nombreux mois déjà que cette mutation allait intervenir. De très nombreux mois. Et ma déprime a commencé dès lors. Et pas du tout au décès de [cet ami].
Je n'arrive pas à l'accepter intellectuellement, psychologiquement, car je ne me sentais pas prêt à abandonner à la fois cet ami malade, et aussi tous ceux qui ont fait de ma vie aixoise un véritable bonheur [une trentaine de noms suivent, ndlr]. […]
J'en veux à ma hiérarchie quand je vois le “pourquoi” de ma mutation : deux directeurs qui ont des familles, des enfants […], il faut leur rendre service […].
[... ] J'ai tout donné à cette entreprise, que j'aime par-dessus tout, acceptant des mutations sans broncher, évoluant il est vrai régulièrement, je ne l'ai jamais contesté. Mais à quel prix : la destruction systématique des amitiés créées, des liens tissés. Ça, on s'en fout. La direction générale s'en fout. Investissez-vous, mais pour l'entreprise. Les amis ? Tu t'en feras d'autres.
________ Les raisons
« Bien sûr j'ai joué le jeu, je vois déjà les réactions à l'annonce de mon suicide, du style : “Mais il a passé un entretien avec conviction… On le sentait motivé”… Mais ne sommes-nous pas des acteurs ? Nous sommes rompus au mensonge et à la comédie.
Avais-je le choix ? Bien sûr que j'avais choisi Clermont, mais il fallait que j'en mette un de toute façon […].
Vous allez voir la levée de boucliers, les RH région accomplir des prouesses pour trouver la moindre bribe sur moi et trouver la parade aux vérités toutes simples que j'ai exprimées : il a été muté et il a accepté à chaque fois, il a été augmenté régulièrement, il a évolué à chaque fois (sauf la dernière) […]. »
______ Discrimination
« Discrimination : là aussi je veux expliquer que j'ai fait profil bas quand, lors de la dernière convention directeurs à Paris, je suis arrivé en jean d'un bon faiseur, de chaussures Santoni, d'une chemise et d'une veste en velours côtelé d'une ligne casual là encore d'une bonne maison…
Mais mon erreur a été que la couleur de la chemise, rose, et de la veste, fuschia, ne soit pas en accord avec la bienséance… Alors on me prit le bras pour me demander “qu'est-ce que c'est que cette veste de PD ? ” […]
Moi qui défends des valeurs morales et humaines basées sur l'anti-discrimination, raciale ou sexuelle, me voilà attaqué sur ce terrain.
Ce pauvre [supérieur hiérarchique direct auteur de la remarque homophobe], piloté par [le haut cadre], mormon dans l'âme, qui ne supporte pas qu'une tête dépasse, qui veut tout contrôler, était bien emmerdé ensuite. Je lui ai pardonné, pas à monsieur [le haut cadre]. »
_____ Pression
« On nous fait faire des formations sur le management du bien-être au travail : tourné vers les employés, pas les cadres et encore moins les directeurs à qui, par ailleurs, la direction générale retire avec métronomie la substantifique moëlle de plaisir de ce métier pour l'avilir à un simple “passe-plat” décisionnel.
On nous demande de mentir régulièrement, de lire des présentations sans âme préparées par des caciques, présentations partagées avec nos équipes avec “conviction” comme on peut l'imaginer d'un travail que vous n'avez pas préparé.
Là encore, tellement peur qu'on ne soit pas à la hauteur. Mais alors pourquoi nous garder ? Juste pour faire le fusible lors de décisions pénales, notre statut de cadre dirigeant garantissant un bouc émissaire lors de contrôles DGCCRF, de plaintes clients ?
Bien être au travail… quelle fumisterie ; tout le monde en rigole, flairant l'arnaque, mais la direction fait la sourde oreille : s'il y a des tensions en magasin, c'est parce que votre management n'est pas top niveau. Leur politique par contre, c'est la bonne. »
[...] Je ne demandais au mieux que quelques mois supplémentaires […]. On connaît le fonctionnement limite humain d'une entreprise pour l'encadrement : tu refuses une mutation, la prochaine tu récupères un magasin compliqué, peu intéressant au regard du travail accompli et là on te fait comprendre que cela ne peut se refuser : la clause de mobilité […].
_______ Des gens à licencier
« J'ai sciemment saboté une partie de mon boulot à Aix dans les derniers mois. J'en avais ras la casquette, démotivé par une direction aveugle.
Les RH (pas celles des magasins les pauvres, elles font ce qu'elles peuvent), celles des régions et au-dessus : leur obnubilation consiste à monter des dossiers sur les employés et les cadres. “As-tu écrit, as-tu dit… Il faut pas garder untel alors dès que tu peux, tu écris, etc.”
On devient méchant, injuste, voyant le mal partout. Paranoïaque. Il faut noter le moindre retard dans une réponse de mail, le moindre débord, tout tout tout ce qui pourrait servir à étayer un dossier.
Pour ma part on m'impose une cadre pour arranger la région dans une “tournante” éditoriale et il faut, après avoir constaté qu'elle n'est pas à la hauteur, me dépêcher de tout faire pour la virer. Alors qu'on ne lui a jamais rien dit, la pauvre. Certains ont manqué de courage, moi il me fallait aller au feu.
Je n'en peux plus de tout ça. »
_______ Rumeurs d'enc..lés de travailleurs
En interne, les salariés constatent depuis plusieurs années un durcissement du management, qu'ils attribuent à la volonté de PPR de vendre la Fnac. En clair, mieux habiller la mariée pour attirer le meilleur prétendant.
La direction de la Fnac nie toute cause professionnelle à ce suicide, comme à deux autres suicides survenus fin 2010 dans ce groupe de 9 500 salariés en France. Mais des documents dont Rue89 a eu connaissance confirment les accusations du directeur, et montrent à quel point la pression est forte sur les cadres et sur les employés de la Fnac.
Source : Fnac : le suicide d'un directeur illustre la violence d'entreprise
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