Images à la fois fascinantes et terrifiantes qui représentent 2 milliards de voyageurs/an dans le monde (soit 1 décollage /atterissage chaque seconde). A vouloir allez plus vite que le temps, les risques de ne plus en avoir beaucoup augmentent chaque jour, à moins que l'on imagine d'autres types d'échanges une fois que le commerce des biens et personnes par les airs aura atteint son apogée et point de non-retour. A moins de proner la régression ou d'y être contraint - la valeur temps ayant définitivement détronée celle de l'argent - je ne vois pas vraiment d'amélioration de l'air ambiant en vue (malgré la baisse l'année passée de 5% du trafic aérien mondial). C'est comme si on poursuivait le progrès dans jamais pouvoir le rattraper, au lieu d'en faire des solutions ou idées adéquates respectant justement l'équilibre nécessaire. On peut aussi repenser l'infini en terme d'une infinité de parties finies... La science de la Nature a encore de beaux jours devant elle.

-- Topette

Comment limiter ce traffic hallucinant ? jusqu'a la semaine dernière, on pouvait difficilement imaginer une solution ... Mais depuis, c'est la nature qui en a apportée la solution et elle s'en est chargée... Désolé pour les vacanciers et autres business man, mais ca fait du bien au radars du monde, et aux habitants proche d'aéroports, de voir a quoi ressemble un ciel européen sans avions mais remplis de cendres.. Un volcan à lui seul cloue au sol des dizaines de milliers de vols et met à mal les plus hautes technologies . Pour combien de temps encore ? ... seule la nature y répondra. Reste désormais a inventer des avions sans réacteurs... http://www.solarimpulse.com/

-- Topette

Il est bon parfois qu'un événement naturel nous rappelle que nous ne sommes que les rejetons des éléments et que la Nature dans ces manifestations les plus terribles nous ré-apprenne le sens du sacré, celui issu de la peur primordiale que nous tentons sans cesse d'exorcicer au moyen de la Technologie.

En faisant l'expérience d'une certaine humilité, nous redécouvrons alors notre origine élémentaire et sentons toute la grandeur et le tragique de la condition qui est la nôtre : celle d'êtres en perpétuel lutte avec leur milieu...

ou un truc comme ça.