...
Crois celui qui peut croire
Moi j'ai besoin d'espoir
Sinon je ne suis rien
Ou bien si peu de chose
...
Me laisse songeur...
2:18 minutes (2.13 Mo)Argh c'est trop beau, retenez-moi je vais chialer... Obligé de cacher l'émotion derrière ces quelques propos dérisoires. Parfois il faut savoir dire stop, lâcher prise (notion Borniolesque je crois). La musique est un puissant narcotique, elle fait vibrer des cordes qui n'ont pas souvent l'occasion de vibrer. C'est du sublime à la portée de caniches (cf Céline à propos de l'amour). Reste à écouter, comme en dehors du monde...
11:33 minutes (10.59 Mo)Suite de l'exploration "low-fi" du folklore américain...
1:41 minutes (1.57 Mo)
Rend bien compte de l'atmosphère qui reigne dans les films à Tati. Frank Black spectateur attentif et improbable (encore un a priori).
Monsieur Hulot, c'est mon héros préféré, un modèle...
3:53 minutes (3.58 Mo)On ne m'arrête plus... Mingus la suite, celle de 3h - 4h du mat', les heures de l'angoisse, la fin de la nuit, seul avec l'esprit en volutes. Cette musique guidera vos pensées. On en profite comme on veut, comme on peut. On attend le petit jour ou on bascule...
12:11 minutes (11.18 Mo)Toujours du Mingus... Morceau de 1 ou 2h du mat' pas plus. A bien écouter avec patience, sans les réflexes d'audition habituels. Nocturne, très nocturne ... ou franchement diurne ...mais sur un rythme bien particulier.
Spéciale dédicace Borniol 2
9:40 minutes (8.87 Mo)Jamais été trop bon pour parler de musique, de jazz en particulier et encore plus particulièrement de la musique de Charles Mingus, de ce morceau "passions of a man"...
A l'instinct comme ça là c'est " Quetzalcoatl a fumé l'herbe du diable". Ceux qui arriveront au bout du morceau comprendrons... ou pas. Une ambiance ou atmosphère...sorte de soirée poch' au bord de la déjante.
C'est une spéciale dédicace à Borniol qui me réclamait il ya longtemps du jazz sur poch'.
4:53 minutes (4.49 Mo)