"Quand on est ministre, on ferme sa gueule ou on démissione"
"Quand on est ministre, on ferme sa gueule ou on démissione"
Rares sont les virées parisiennes de poch sans leur lot de découvertes musicales ou autres. Une des dernières en date est venue d'un gars ayant créé le concept de "soirée de poche" (et ouais ça ne s'invente pas), mais également de "concerts à emporter". Vous retrouverez quelques réalisations de sa blogothèque (7 ans de tournage, et 450 concerts à emporter, et 40 soirées de poch...) plus loin dans ce billet. C'est en cliquant au hasard, que l'on est tombé sur Timber Timbre; Sur ce sombre songwriter, il écrit : Lire la suite ...
6:00 minutes (11 Mo)Parce que
La vie n'est pas la vie
Quand la vie n'est pas ce qu'on nous fait croire
Mieux vaut le drap du désespoir
Puisque la vie n'est pas ce qu'on nous fait croire
Mieux vaut le drap du désespoir
alors
Ramenez le drap sur vos yeux
Entrez dans le rêve
Encore un album entre ombre et lumière même si celle-ci est plutôt du coté noir !
Le bonhomme est discret et ne laisse que peu de traces de sa voix en interview ( à la demande de l'invité, toute ré-écoute ou podcast est impossible - http://www.franceinter.fr/personne-gerard-manset)
Il a quand même fait une faveur à Télérama, ayant laissé publier et garder en ligne son interview. C'est vrai qu'elle est correcte :) satisfaisante pour un perfectionniste.
http://www.telerama.fr/musique/gerard-manset-je-suis-fait-de-50-de-trist...
Cet album est une revisitation de ses classiques
4:56 minutes (11.33 Mo)Il ne faudrait pas que ces correspondances deviennent un journal d'exploits alcooliques de bonhommes, testant la résistance de leurs corps de vieux avec des trucs de jeunes, noyant d'alcool autant leur joie éphémère que leurs passions tristes, alors je n'en rajouterais pas une... de toute façon, je ne me souviens plus très bien. Ce que je sais, c'est que je revenu une fois de plus de Paris fatigué mais sain et sauf, un peu moins saint quand même... il faut voir ce que l'on respire !
Il faut juste s'imaginer, accoudé au zinc du pub le shannon ce soir là... ce titre de la B.O d'American Hustle (excellent film, pas une arnaque) tombe à point.
La chanson originale est tirée de l'album Zoom d'Electic Light Orchestra
3:21 minutes (4.63 Mo)Pour les fidèles djam'eurs vous avez sans doute déjà entendu Joan as policewoman. Encore une jolie voix policée qui rejoindra les belles du jukepoch, playliste que vous pouvez toujours ressortir en soirée, au cas ou vous voulez changer l'ambiance pour le pire, oui le pire pour la plomber, ou le meilleur pour les nostalgiques et autres non-convertis. J'ai hésité avec le très roots mais un trop mou Victor Démé (Djôn' Maya) ou Nantes de Beirut qui n'y sont pas, mais sur le moment, plus d'affinités pour ce titre plaisant de Joan Wasser au joli cv et des inspirations provenant tout droit du deep field (champ profond de Hubble). J'ai même failli mettre un morceau electro RJD2 (Ghostwriter), mais je préfererais laisser Jackie mittoo revenir chargé de sa hotte de père noel de vinyles en tout genre. Lire la suite ...
4:09 minutes (7.64 Mo)Encore un album a se procurer pour les amoureux du rock'n' poch, et qui n'ont sûrement pas besoin de pub ici, ils font ce qu'il faut pour dans leur clip (ci-dessous). C'est juste histoire de partager les goûts du moment. Dans la même veine que les français "skip the use" et "shaka ponk", avec de jolis titres que l'on fredonne tout en hochant facilement de la tête, voir comme un ouff... tout crazy électrisé par le son de vieilles guitares, qui renouvelle le son des zz top, quiite à inventer un nouveau son rock, qui parfois aussi n'est pas très propre, comme certains albums de Neil Young. Mais bon, encore des bons, merci à edhel d'avoir passer l'info. Difficile de faire un choix entre 3 petits bijoux Lonely Boy, Gold On the ceiling, Little black submarines.
Donc ce sera un titre audio, et 2 clips pour la modique somme de rien, mais pas grand chose non plus chez votre disquaire préféré : le prix d'un casse-dalle ou bientôt d'une pinte Lire la suite ...
3:13 minutes (5.92 Mo)Dans une tout autre veine de poch, un morceau qui résonne avec bien d'autres passés sur poch. Encore une chanteuse sifflotant, à la voix "mieilleuse emplie de pop lo-fi, me direz-vous ? Sauf que là, ça marche encore, même si elle tient ss doute bcp de ses parents. Ce titre et quelques autres, tiré de son premier album Places passent en boucle à la maison ...
4:03 minutes (9.31 Mo)[...] Après Danyel Waro, il y a Christine Salem. Son maloya est pur – des percussions, du chant, des harmonies vocales – et dur, enragé, amer, intransigeant. Créole, Christine Salem chante parfois dans une langue inconnue, en transe. Il y a une paire d’années, elle part aux Comores et à Madagascar, à la recherche de ses origines, et découvre une tribu qui parle la même langue mystérieuse.
Dans ce pays maloya, l'Île de la Réunion, où les morts parlent aux vivants, elle remplit ses cahiers d’écriture au milieu de sommeils agités. Mais la plupart de ses chansons naissent sur scène, au cours de séances extatiques. Dans ces moments d’intense créativité, la jeune femme est littéralement traversée par un flot de paroles et d’émotions. Vecteur ou médium, elle fait don de son corps tandis qu’à travers son esprit les ancêtres guident sa plume, mugissant leur révolte dans un culte saisissant aux esclaves marrons. Lire la suite ...
5:47 minutes (13.68 Mo)Au début des années 70, Sixto Rodriguez enregistre deux albums sur un label de Motown. C'est un échec, à tel point qu’on raconte qu’il se serait suicidé sur scène. Plus personne n’entendit parler de Rodriguez. Sauf en Afrique du Sud où, sans qu’il le sache, son disque devint un symbole de la lutte contre l’Apartheid. Des années plus tard, deux fans du Cap partent à la recherche de “Sugar Man”( Searching for Sugar man), sur les traces d’un rocker de Detroit, Rodriguez, devenu une star en Afrique du Sud alors qu’on le croyait mort
2:32 minutes (5.83 Mo)Thanks to the Djam Radio
5:07 minutes (11.79 Mo)