Tel que vous me lisez je ne porte pas en amour cette pseudo-démocratie, ce pseudo-état qui se fait appeler Israël. Ce qui me conforte dans sa detestation est le fait qu'il ne soit pas possible en France, d'appeler à boycotter les produits israëliens sous peine d'être jugé pour "provocation à la discrémination".
Qu'il faille tenir compte de l'histoire tout à fait particulière - tragique - de ce peuple qui constitue la population de ce nouveau pays, soit, mais pas au point d'interdire toute forme de critique à l'égard de l'état dont ils consituent la population, ce qui pourrait l'inciter sous couvert d'impunité à commettre toutes sortes d'exactions, exactions qu'il commet déjà sans doute par nécessité - ou du moins poussé par une furieuse envie d'annhiliation de tout ce qui s'oppose à ses visées troubles - du fait de sa situation d'assiégé permanent.
Il est interdit d'appeler à boycotter les produits israëliens mais un appel n'est même pas nécessaire afin que cet acte individuel soit suivi par une foultitude.
Billet un peu "chaud" ... mais il faut bien parfois mettre les pieds sur le plancher des vaches, plancher truffés de bouses exhalant des miasmes méphitiques et délétères. C'est ça l'actualité. Je suis bien mieux à délirer, à m'enfermer dans mon pessimisme de carnaval.
Qu'elle ne fut pas ma surprise de découvrir par la lecture d'un article de journal que j'étais un "anti-Lumières". J'étais d'autant plus surpris que jusqu'alors sans m'en réclamer je pensais appartenir à cette mouvance de fond de l'esprit.
Pour à votre tour savoir si vous êtes pro ou anti Lumières, on répondra à ces questions, tirées textuellement de l'article évoqué ci-dessus ( Le Monde Diplomatique - Anit-Lumières de tous les pays..." - Zeev Sternhell ) :
Les anti-Lumières répondent dans le sens de l'organique et moi-même je suis de ceux-là.
Pour approndir un peu, j'extrais quelques passage du même article :
"Pour la pensée politique représentée par le puissant et tenace courant anti-Lumières, l'individu n'a de sens que dans et par la communauté, il n'existe que dans le particulier concret et non dans l'universel abstrait."
Pour les Lumières par contre dans l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert : Lire la suite ...